Henry Every, né le 23 août 1659 et mort après 1696, l’un des plus fameux flibustiers anglais. Il est surnommé The King of Pirates (le roi des pirates).
Henry Every, né sous les étoiles d’un doux été de 1659, était un nom légendaire parmi les marins les plus audacieux et les plus téméraires de la mer. Connu sous le sobriquet de « The King of Pirates » (Le Roi des Pirates), il était considéré comme l’un des flibustiers les plus célèbres de son époque, régnant sur les mers avec une grâce effrénée et une audace sans limite.
Qui est Henry Every ?
Henry Every, connu sous le nom de Le Roi des Pirates, est enveloppé dans les mystères les plus sombres de la mer des Caraïbes. Ses débuts dans la piraterie sont marqués par une révolte audacieuse, lorsque 85 marins, menés par Every lui-même, s’emparent du navire amiral de la flotte de Sir Arturo O’Byrne, après des mois d’attente pour une expédition autorisée par le roi d’Espagne.
Leur première prise est un triomphe épique, lorsqu’ils s’emparent du navire du Grand Moghol, le Ganj-i-Sawai, transportant non seulement sa fille, mais également une fortune en or et en pierreries. Every trahit ses alliés et s’échappe avec le trésor, direction les Antilles et l’Avalon, où il espère écouler discrètement les diamants volés. Cependant, les commerçants locaux découvrent la véritable origine des pierres et, en échange de leur silence, ne lui offrent qu’une petite avance. Every doit maintenant disparaître sans laisser de trace, pour échapper à la justice implacable des autorités maritimes.
Mort d’Henry Every
Henry Every s’éteint peu de temps après, englouti par les flammes d’une maladie qui l’a consumé. Cependant, la légende veut que sa vie ne se soit pas terminée ainsi. On dit qu’il a épousé la fille du Grand Moghol et a régné sur le royaume de Marak’Pinga, en tant que monarque respecté et aimé. Les rues étaient pavées d’or, ses palais scintillaient de richesse, et il régna sur son peuple avec une main ferme et juste. Il est resté dans les mémoires comme un héros et un symbole de liberté, bien que les écrits de l’époque en disent peu sur son sort réel.